Roman écrit il y a presque 10 ans, Sombre-Rêve reposait tranquillement sur mon disque dur depuis le printemps 2010. J’avais bien écrit quelques scènes parallèles au cours des années et même commencé sa réécriture en vue de le finaliser… et puis depuis des années, je n’y avais pas retouché. Décidée à le sortir de la poussière, je vous livre ici le premier chapitre de ce roman de plus de 818.000 signes. J’ignore encore ce que je vais en faire, le retravailler c’est certain après on verra, je n’en suis pas à poser le point final de la refonte.

SOMBRE RÊVE


Il arrive parfois qu’on se demande où commence le rêve et où finit la réalité. Je me suis

souvent posé la question. Tout ce que nous regardons, voyons, n’est-il pas pure illusion.

Chapitre I

Ce matin là, du 30 octobre, Pandora regardait la rue en contrebas, le front appuyé contre la vitre pendant que la ville émergeait lentement de la nuit. Elle essuya machinalement la seule larme coulant sur sa joue. Le lendemain, jour d’Halloween, Pandora fêterait son trentième anniversaire, et qui serait là auprès d’elle ? Personne, seule Iris, sa compagne féline serait-là pour se lover contre-elle. Comme à chaque fois qu’elle était stressée, anxieuse ou triste. La jeune femme passa sa langue sur ses dents et sentit ses canines un peu plus pointues et longues que la normale. Ces paires de crocs lui avaient valu pendant de nombreuses années tous les sobriquets possibles et inimaginables, ajouté à cela sa peau pâle, ses cheveux noirs, ses grands yeux mauves et sa physionomie peu ordinaire. Elle détestait ce qu’elle était, tout lui avait valu des moqueries ou le rejet des autres enfants et des adultes par la suite. De son prénom peu ordinaire, elle maudissait ses parents de l’avoir affublé d’un tel patronyme, à son physique longiligne, sa très haute stature pour une fille, tout n’avait été que le prétexte pour être mise de coté par ceux qu’elle avait du côtoyer au cours de sa vie. Les gens la trouvaient tout simplement étrange, éprouvaient souvent un certain malaise en sa présence que pourtant ils étaient bien incapables d’exprimer.

Et voici que la veille de son anniversaire, elle ne pouvait faire qu’un triste constat : rien n’avait changé, rien du tout.

Ce rêve, ce maudit rêve l’avait encore tiré de son lit, et pourtant il n’avait rien de particulier. Ce n’était pas un cauchemar, mais il revenait depuis tant d’années… Elle ne savait plus très bien quand cela avait commencé. Les souvenirs de ces choses remontaient si loin. Elle n’était alors qu’une fillette presque comme les autres. Une enfant ni plus ni moins sage, grandissant avec ses parents et les jumeaux qu’une maladie sanguine avait emportés alors qu’elle était encore à la maternelle. Cette année-là fut maudite, elle déchira sa famille et le cœur de Pandora. Les jumeaux, Aloïs et Arawn, étaient tombés malades, son père également, les médecins avaient diagnostiqué un cancer en stade 4 et elle-même était atteinte d’une anémie sévère. En quelques mois, elle vit son frère et sa sœur dépérirent et s’éteindre à petit feu. Après le décès de ses cadets, ses parents, malgré la maladie de son père, décidèrent de quitter Paris et partirent pour la province, où ils espéraient pouvoir repartir de zéro malgré le cancer de son père et la constitution fragile de la fillette. Peu à peu elle, recouvra la santé tandis que celle de son père déclinait. Elle ne l’entendait plus jouer du saxophone ni chanter, les séjours à l’hôpital étaient de plus en plus longs. C’était à peu près à cette période-là que les rêves commencèrent, certains étaient si étranges qu’ils la terrorisaient. Une créature terrifiante apparaissait et semblait vouloir l’attraper, parfois elle avait la sensation qu’elle-même devenait ce monstre et elle se réveillait en hurlant. Elle fit fouiller toute la maison, la petite fille apeurée ne voulait plus dormir seule. Tout cela fut mis sur le stress des soucis familiaux, même lorsque ses songes devinrent de plus en plus étranges, elle affirmait voir des gens d’une autre époque lui parler, elle se réveillait avec la sensation qu’ils existaient réellement, qu’elle aurait pu les toucher. Son cauchemar apparaissait comme si elle observait la scène derrière une vitre sans teint. Elle découvrait une pièce pleine de monde comme pour un bal, ils étaient tous vêtus d’habits aux couleurs chatoyantes d’une autre époque, des masques grimaçants sur leurs visages, mais l’un d’entre eux la terrorisait plus que les autres. Elle le voyait en train de parler avec d’autres personnes, puis il se retournait vers elle. La jeune enfant voyait son visage, ses dents et cette curieuse chevelure encore plus pâle que celle des jumeaux. Lorsque cet être avait avancé la main vers elle, la fillette s’était réveillée en hurlant. Même si elle avait fait ce rêve que de rares fois, elle n’avait jamais pu l’oublier. Plus le temps passait et plus elle avait l’impression que ses songes étaient réels, puis celui qui la poursuivait depuis des années avait commencé. Au départ, elle se voyait marcher dans les ruelles d’une ville médiévale puis peu à peu, au fur et à mesure des années, elle s’était vu vieillir en même temps qu’elle progressait dans cette cité ancienne. De temps en temps, il évoluait par petite touche. À son tour, il devenait étrange., lorsqu’un événement important de sa vie changeait, il s’en trouvait modifié. Pandora était certaine que si sa vie familiale avait été différente, celle-ci aurait été incorporée dans ce monde imaginaire. Pendant longtemps, elle déambulait puis s’arrêtait devant une porte-cochère fermée. Puis, peu à peu, son arrivée au village se faisait de plus en plus tôt. Elle avait fini par se promener dans ses ruelles, une fête médiévale s’y produisait avec ses stands marchands, ses ateliers et spectacles divers, mais inlassablement, elle se retrouvait devant cette porte mystérieuse. Petit à petit, il lui sembla que les époques se superposaient quand elle regardait les différents éléments des festivités. Tout ce qui possédait un caractère festif devenait inquiétant. Au lieu de la place centrale se trouvait un gibet, des traînées sanglantes souillaient le sol comme de grands pétales de roses fanées. Les époques qui se déroulaient sous ses yeux se juxtaposaient. Elle se sentait oppressée avec l’impression qu’on voulait l’avertir de quelque chose, une chose inquiétante sur laquelle elle ne parvenait pas à mettre de mots, puis elle se retrouvait devant cette porte encore une fois. Quelque temps plus tard, la jeune femme se vit arriver aux pieds du village, elle savait que c’était lui, même si auparavant, jamais elle ne l’avait vu de l’extérieur. Il était perché sur une butte escarpée, accessible par une succession de lacets. Les champs environnants étaient cramoisis, de ces terres rouges comme du sang commençant à sécher. Elle savait qu’il était là et ressentait comme une impression d’insécurité, comme si quelque chose lui disait de ne pas y aller. Elle prenait alors la petite route pour s’y rendre, enfilant les virages les uns après les autres jusqu’à ce qu’elle se retrouve à l’entrée d’une petite ville. La jeune femme laissait son véhicule sur un parking et continuait à pied. Son rêve reprenait à chaque fois point par point celui de la nuit précédente.

Elle le fit pendant des mois sans la moindre modification et le jour où elle changea de voiture, celui-ci se modifia et apparut sa petite Italienne, un petit coupé noir aux vitres sombres à la place de sa vieille guimbarde devenue un véritable gouffre financier.

Puis une nuit, il y eut un nouveau changement, elle ouvrit la porte devant laquelle elle s’arrêtait depuis des années. C’était une lourde porte de chêne et de métal. Elle donnait sur une grande cour pavée, entourée de grandes bâtisses de pierres, à l’opposée de l’entrée, se trouvait une petite ouverture vitrée. Sa progression stoppait dès qu’elle franchissait la poterne donnant sur la rue. Pendant plusieurs nuits, il n’y eut pas d’autres nouveautés puis une nuit, elle franchit la cour et se retrouva devant un panneau indiquant qu’il s’agissait d’une galerie d’art. Mais ce sentiment de crainte ne la quittait pas à tel point que Pandora appréhendait de s’endormir sans pour autant savoir pourquoi.

***

Les adultes n’avaient jamais voulu écouter ses peurs, même quand elle s’était aperçue du haut de son tout jeune âge que certaines de ses aventures nocturnes se réalisaient réellement, personne ne voulut l’écouter… même lorsqu’elle tenta de mettre en garde avec ses mots à elle de ce qui allait se produire.

Le souvenir de ce qui s’était passé raviva la douleur qu’elle avait éprouvée, Pandora resserra ses doigts sur la poignée de la fenêtre et laissa ses larmes couler. Depuis ce moment-là, elle avait toujours eu l’impression que tout était noir en elle. Longtemps, elle se crut responsable de ce qui s’était passé, elle s’était persuadée qu’elle aurait pu empêcher ce drame. Il lui avait fallu des années et des années avant de se rendre compte qu’elle n’aurait rien pu faire. Elle avait à peine six ans, lorsque ce jour-là vint entacher sa vie.

La famille de Pandora habitait à la campagne, dans un petit village de Dordogne, dans une vieille maison aux murs suintants d’humidité, entourée d’un grand jardin et d’un verger où l’enfant aimait s’asseoir et y déguster les fruits. Ce matin-là, sa mère était partie faire des courses et la petite Pandora était restée seule avec son père comme dans un de ses rêves. Ce fut peut-être un geste, une impression étrange, avec les années, elle ne se souvenait plus, mais la petite fille, soudain emprise par la peur se dirigea vers la grange, le cœur enserré par l’angoisse. Elle y trouva malheureusement ce qu’elle avait craint. Trop jeune pour comprendre réellement, mais suffisamment âgée pour traumatiser cette enfant que les derniers mois avaient déjà durement éprouvée. Lorsqu’elle passa la lourde porte de la grange, elle cligna des yeux pour s’acclimater à la pénombre qui y régnait malgré une petite ouverture dans l’un des murs de pierre. Une chaise renversée gisait au beau milieu de la bâtisse, elle leva les yeux et découvrit des pieds en train de se balancer, son regard suivit les lignes du corps amaigri jusqu’à la corde étranglant le cou de son père. Elle l’appela en vainc. Elle secoua de sa petite main la jambe, mais il demeura silencieux. Alors, la petite Pandora s’assit et attendit. Sa mère la retrouva ainsi, en pleurs aux pieds de son père. Ce fut comme dans un état second qu’elle vécut les jours suivants jusqu’à l’enterrement de celui-ci, elle l’adorait et cette séparation fut pour elle un véritable déchirement. La fillette se retrouva seule avec sa mère. Elle se renferma sur elle-même, jamais personne ne put voir ses larmes, elle enfouit sa tristesse tout au fond d’elle-même et la garda dans son jardin secret. Les rêves se firent de plus en plus présents et celui où elle se promenait dans cette ville devint son quotidien.

***

Pandora mit en marche le téléviseur, les nouvelles attirèrent son attention. Un puissant séisme avait eu lieu en Islande et au large de celle-ci quelques semaines auparavant. Comme parfois cela peut se produire, le cataclysme volcanique avait fait remonter des profondeurs des choses enfouies depuis des siècles. Une petite île était apparue au sud du pays. Quelle n’avait pas été la surprise des scientifiques lorsque les photos satellites avaient révélé une faille au sud-ouest de l’Islande. Une équipe de scientifique s’y était rendu et avait découvert l’entrée d’une grotte jusqu’alors inconnue. Des objets d’une civilisation mystérieuse, une écriture que jamais personne n’avait vue s’étaient révélés aux humains. Mais plus que tout, ils avaient trouvé ce qui pourrait éventuellement être un sarcophage. De multiples photos avaient été prises. Les journalistes présentaient ces faits comme une découverte majeure. Déjà les uns et les autres émettaient des hypothèses plus farfelues les unes que les autres. On parlait de technologie extraterrestre ou encore de civilisation perdue.

Intriguée, Pandora regarda l’émission avec intérêt puis éteignit le téléviseur avant de prendre un livre et se plonger dans le dernier ouvrage de SF qu’elle s’était offert la veille.

***

L’équipe d’archéologues dépêchée sur place était enthousiaste face à cette découverte. La grotte était de grande taille, un petit couloir permettait d’accéder à une salle principale de forme régulière, quelques absides abritaient de menus objets et la principale renfermait ce que de primes abords ils pensèrent être un sarcophage. Sur les parois de la caverne de nombreux dessins et des inscriptions dans une langue qui leur sembla inconnue. Cependant, les lieux menaçaient de s’effondrer à plus ou moins longue échéance. De nombreuses photos des lieux furent prises, des dessins et croquis, de multiples notes et relevés. Un photographe spécialisé vint prendre des clichés en 3D. Une nouvelle vague de séismes menaçait, d’autant plus que le nouvel îlot était d’origines volcaniques. Il fut donc décidé d’envoyer le contenu transportable à Reykjavik dont le fameux « sarcophage ». Celui-ci semblait fait d’un métal rougeâtre ciselé et recouvert de bas-reliefs mettant en scène des créatures mythiques., le dessus était sculpté comme nos gisants, mais représentait un être fantastique : une créature allongée vaguement humanoïde qu’une paire d’ailes membraneuses enveloppaient.

Lorsqu’il fut arrivé à domicile, la bière fut passée au rayon X. Les scientifiques découvrirent alors que l’objet de leur découverte n’était pas vide. Un corps semblait reposer dans un liquide dense rendant difficile la lecture de son contenu. Le tombeau semblait hermétique après maintes discussions, ils décidèrent d’ouvrir l’objet afin d’y faire des prélèvements et repasser aux rayons le contenu, le métal dont ils ignoraient tout créant des interférences.

Les premières analyses révélèrent que ledit métal dont étaient faits divers artefacts était un alliage de cuivre, d’aluminium et d’un autre composant indéfinissable. On parla alors d’orichalque à défaut de pouvoir dire exactement ce qu’il en était. Le sarcophage fut finalement ouvert plusieurs semaines après son arrivée à Reykjavik en grande pompe, la presse internationale était là ainsi que quelques sommités parmi les archéologues et bien sur le président de la république islandaise. Bientôt les journaux et la télévision ne parlèrent plus que de ça.

L’étrange liquide, en fait presque une sorte de gelée rosâtre, fut à son tour analysée puis un nouveau passage aux rayons X afin d’étudier le corps qui reposait à l’intérieur. Les clichés révélèrent une créature étrange, celle-ci semblait quasiment intacte, de forme vaguement humanoïde et de très haute taille. Son ossature se différenciait de la nôtre essentiellement au niveau de la tête avec de grandes orbites et une dentition de prédateur, des oreilles légèrement pointues, et des griffes, quelque chose semblait être rattaché dans son dos, on le retourna avec toutes les précautions possibles pour découvrir que son dos comportait une protubérance où des ailes paraissaient être recroquevillées. L’étrange animal fut remis dans sa position initiale et le couvercle du sarcophage reposé dessus.

Lorsque l’équipe revint quelques jours plus tard avec les résultats des analyses ils eurent une étrange surprise, la gelée s’était liquéfiée et décolorée, mais le plus grave était que la créature avait disparu. Tous se demandaient qui avait bien pu voler une relique vieille de plusieurs millénaires.

***

Des bruits, des palpitations, mais que sont ces bruits incessants ? Des voix, des voix si lointaines. Bouger, je dois bouger. Les voix s’éloignent. Le silence. Où suis-je ? Froid j’ai si froid.

Son corps semble pris de convulsions, il tremble, s’agite. Se réveiller d’un si long sommeil est si difficile.

Mes entrailles me brûlent, la soif, boire, je dois boire. Souffrance…

Il s’agite de nouveau, la douleur est si vive, si brutale, elle lui arrache des cris, ses griffes battent l’air, sa bouche s’ouvre, l’air entre dans ses poumons, s’y engouffre comme dans un tunnel vide… où soufflerait un vent brutal. Son corps se soulève, se cambre violemment et retombe. Il hurle, puis plus rien, juste le silence.

Palpitations, un cœur bat, un cœur vit. Un souffle, une respiration, une poitrine qui se soulève. La vie est là de nouveau. Silence… il n’y a personne. Les paupières se soulèvent, il fait noir, un battement, un second, la vision s’ajustent. Le regard carmin ne voit qu’une voûte. Les yeux papillonnent.

Où suis-je ? Je ne reconnais rien, quel est cet étrange lieu ?

Le nez frémit, se fronce.

Quelle est cette étrange odeur ?

Sa gorge est en feu, sa bouche semble desséchée, la soif… l’épouvantable soif.

Boire, faim…

Il se redresse, tente de se lever, retombe, attrape les rebords et d’un effort surhumain parvient à s’asseoir. Ses muscles lui font mal, il s’étire longuement. Refais une tentative, puis recommence plusieurs fois jusqu’à ce que ses jambes acceptent de supporter son poids. Il fait quelques pas chancelants, titube, se redresse et parvient à reprendre la maîtrise de son corps. Il a un grand besoin de se nourrir.

Il erre dans les corridors sans un bruit tel une ombre, hume l’air, il sent un corps pas bien loin, un corps chaud. Il regarde par une des fenêtres, pose sa main sur le verre froid, regarde sa main, repose sa paume, se concentre, le verre se fend, le verre tombe et l’ombre s’enfuit dans la nuit.

Boire, apaiser ce feu, cette douleur épouvantable.

Il ne reconnaît pas cet endroit, ces rues bruyantes, ces odeurs nauséabondes. Il se fond, personne ne le voit, personne ne l’entend. Une petite ruelle, un être s’y engouffre, il le suit et quand plus personne ne peut voir sa proie, il fond sur sa victime comme un serpent, enfonce ses longues incisives dans la peau tendre de la gorge, arrache la chair et s’abreuve du sang chaud et parfumé de la jeune fille. Il prend possession de son esprit, de son corps. Le liquide savoureux apaise sa soif, les brûlures de sa bouche. Les bienfaits de son absorption ne tardent pas à se faire sentir. Cette fois-ci c’est un feu apaisant qui parcourt ses veines, ses muscles, lui redonne sa puissance. Une fois son gibier exsangue, il le laisse retomber et l’abandonne sur le sol glacial. Il y jette un œil et son corps vibre quelques instants, se métamorphose, il rejoint la rue principale, se fond avec la population à la recherche d’un lieu où passer la journée à l’abri du pale soleil septentrional.

Personne ne voit le prédateur !

Catégories : Journal

4 commentaires

Karine · 19/05/2017 à 08:44

Coucou Nath
Super début, effectivement il va falloir le retravailler car il est un peu lourd et il y a une petite répétition. Mais j’aime beaucoup ce premier chapitre et ce même si le style du vampire est trop « chauve-souris » ?
Bises

Christine · 19/05/2017 à 21:49

Salut,
Il est vrai qu’il est un peu lourd… mais il n’en reste pas moins un bon chapitre !
J’ai hâte de savoir le lien (s’il y en a un) avec les rêves de Pandora et l’étrange créature ailée (pour ne pas dire vampire 😉 )
Bises

ohia · 24/05/2017 à 09:11

coucou ma nathy
j ai bcp aimée ce premier chapitre différend de l ancienne version que je connais et j attend avec impatience la suite………..car comme je te l ai souvent demander  » quand vas tu reprendre sombre rêve???  »
bisou ma belle

    Nathy · 24/05/2017 à 09:45

    Salut toi 🙂

    Oui très différent. Et pas facile de replonger dans un roman que l’on a écrit il y a sept ans. Mes envies, mon écriture tout cela a évolué.
    Bisous

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